Revue
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Mouvement social des aînés
Pour ceux qui partent en vacances et qui prennent des photos en vue de créer un album ou non ou simplement en imprimer.
Attention cependant :
Il faut bien configurer ces applications et les ouvrir pour que la synchronisation sur votre compte Google ou Apple se fasse en WIFI. Vous avez donc besoin d’une connexion WIFI là où vous vous trouvez !
Et ensuite …
Notre Cyber Club va organiser des ateliers qui vous guideront dans la mise en forme d’album photo que vous pourrez faire imprimer en passant par une application à installer sur un PC. Ce sera certainement PIXUM.
Tous les conseils ci-dessus sont donc très importants pour pouvoir organiser et sélectionner les photos à mettre sur un album car on doit se limiter dans le choix de celles-ci.
On vous tiendra au courant pour l’organisation de ces ateliers dans les prochaines revues…
Le Cyber Club | Alain Hébert | 0478/684 33 | alain.hebert.be@gmail.com |
Guy Debras | 019/54.57.49 ou 0472/666 565 | ||
Philippe Bleus | 0496/049 936 | philippe.bleus@gmail.com | |
Pierre Renard | 0498/423 607 | p.renard.vobe@gmail.com |
par Marie-Josée Maricq
Ce n’est ni un coiffeur, ni un barbier, « que nenni ! ». Il s’agit d’un ouvrier qui travaille à la préparation des poils de différents animaux pour l’élaboration du feutre servant à la confection des chapeaux, matière première du chapelier.
C’est sous le règne de Charles VI (vers 1400) qu’apparaissent les premiers chapeaux de feutre. On commença par les fabriquer avec des peaux d’agneau puis des peaux de castor. Jusqu’au milieu du XVIIIe siècle, on travaille la laine, le poil de chameau, de veau, de chèvre, voire de castors pour les feutres de qualité.
À partir de 1730, l’utilisation du poil de lapin et de lièvre améliore le pouvoir feutrant.
De tous temps, on a employé ces peaux pour en faire des fourrures, mais ce commerce n’est devenu vraiment important que le jour où la peau de lapin a servi à fabriquer les chapeaux de feutres.
Sous l’Ancien Régime les règles sont strictes pour le chapelier de feutres :« Défense de faire du feutre avec autre chose que du poil d’agneau ».
Ils travaillent dans les abattoirs avec de l’eau bouillante. Les poils récupérés, les « soies », se revendent cher car très appréciés pour fabriquer des pinceaux et des brosses.
Dans les fermes d’antan, le cochon tué était recouvert de paille puis on y allumait le feu pour brûler les poils. On grattait ensuite avec un racloir pour rendre sa peau lisse qui deviendra la couenne du lard.
C’est bien sûr l’artisan qui fabrique le boudin.
Mais attention, la boudinière n’est pas son épouse mais un petit entonnoir en métal qui sert à fabriquer les boudins.
Les apothicaires, « Ciriers et pévriers », vendeurs d’ustensiles de ménage et d’épices, proposent des poudres, des drogues, mais aussi des confitures et des sucres. Ils sont donc jugés avant tout comme des commerçants de bouche.
Mécontents d’un tel statut, ils essayent de faire reconnaître leurs compétences spécifiques mais se heurtent à la résistance des médecins jalousement attachés à leur supériorité en matière de santé.
La querelle est souvent vive, chaque partie accusant l’autre d’abus, de tromperie et d’ignorance et revendiquant, pour elle, le monopole de la préparation des remèdes.
Les médecins sont souvent vainqueurs. Si eux-mêmes peuvent fabriquer des médicaments, l’apothicaire en revanche ne peut délivrer de préparation sans ordonnance.